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mériter--quelque "attention dé votrêpartet-quel­ques égards^ _..•■-■"                         -
^ « J'ai l'honneur d'être très parfaitement, Mon­sieur, votre très "humble et obéissante servante.
« d'esclavèlles d'Epinay. - '(-J'espère que vous voudrez bien me faire dire lé jour que vous prononcerez notre jugement. Je réitère la demande de l'obtenir-le 'plus prompte­ment possible (i). »- ..•. ",'.•...            ■ - -. .. De son côté M. d'Epinay n'était pas moins dési­reux d'une, solution. Il-.avait-fini par comprendre
' que l'état -critique de ses affaires- nécessitait abso­lument l'interdiction-et il .l'a' demandait expres­sément.. .'• -...-r. :".-:"       .-..'.' ■--.'.;
- Elle .fut enfin-prononcée le 18.septembre 1777. Dix mille livres, de . pension, annuelle , furent accordées à l'ancien-fermier général pour nour­riture, entretien .et domestiques.-On le laissa en possession des effets, meubles, linge et hardes à son usage se trouvant dans sa, maison de la rue des Saussayes où-il continua à résider,- et .on lui nomma pour curateur ét pour conseil judi-
(1) Archives nationales, Y, 5o34. La signature seulement est autographe.